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Planifiez-vous votre prochain voyage gay dans votre destination préférée ? Voyager-gay.fr est votre allié de choix pour trouver un séjour pas cher. Qu’il s’agisse de réserver votre hébergement ou encore de choisir le lieu de votre escapade, ce guide du tourisme vous apporte l’aide dont vous avez besoin. Voici quelques raisons pour lesquelles vous devez faire votre réservation de villégiature via ce portail.

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Les meilleures choses à faire à Lausanne

Chargée d’histoire et de culture, Lausanne a un centre parfaitement joli, bourdonnant de restaurants, cafés, marchés et un certain nombre de quartiers avec un caractère qui leur est propres, des anciens entrepôts de Flon aux boutiques indépendantes autour de la rue de Bourg et cafés de Grancy. Le meilleur de tous est la gamme d’attractions en plein air de Lausanne, grâce à sa position près du lac Léman. Envie de passer quelques jours dans cet endroit épatant et impressionnant ? Faisons le tour des activités à ne pas manquer.  Continue reading “Les meilleures choses à faire à Lausanne” »

Comment louer un bus pour groupe ?

Vous souhaitez effectuer un voyage en groupe et vous avez pensé à louer un bus ? Bonne idée ! En effet, la location d’un bus est la meilleure option pour réaliser des déplacements en groupe, sans pour autant dépenser une somme importante. De plus, le choix est large. Eh oui ! Les professionnels dans le domaine de location proposent un large choix de bus, pour que chaque groupe trouve ce qui leur convient. Cependant, une question se pose : comment louer un bus ? Ou plus précisément, quel est le principe de la location d’un bus ? Vous vous posez cette question aujourd’hui, car vous souhaitez louer ce type de voiture ? Pas de panique ! Nous allons vous apporter le maximum d’informations dans cet article. 

Quand louer un bus ?

Avant toute chose, il est bon de connaitre à quel moment on doit louer un bus. Quand est-ce que louer un bus avec chauffeur est avantageux ? Pour tout dire, il vaut mieux choisir cette option, dès que vous êtes plus de 5 à vouloir effectuer un séjour. En effet, il est toujours plus pratique de louer un seul bus que de miser sur deux voitures de 5 places, que ce soit dans le domaine économique que dans le domaine écologique. Vous pouvez également miser sur ce service, si vous souhaitez effectuer un voyage scolaire, un séminaire d’entreprise ou un déplacement d’un club sportif. En deux mots, dès que vous prévoyez un déplacement pour de nombreuses personnes, il faut miser sur la location d’un bus avec chauffeur. 

Pourquoi louer un bus ?

Une bonne question que de plus en plus de personnes se posent aujourd’hui. Certes, il est tout à fait vrai que la location d’un bus est plus élevée que celle d’une simple voiture. Mais le cout global est bénéfique. En effet, il est plus économique de louer un seul bus au lieu de plusieurs voitures. En outre, étant donné que vous n’utilisez qu’une seule voiture, la pollution est moindre. La location d’un bus est de ce fait une option à la fois économique et écologique. En ce qui concerne le côté pratique, avouons-le, rien n’est plus agréable que de se retrouver dans le même car, pour s’amuser et se divertir. 

Quel est le principe de la location d’un bus ?  

De prime abord, vous devrez déterminer le nombre des passagers, votre destination, la durée de votre séjour, les différents déplacements que vous souhaitez effectuer et surtout votre budget. Par la suite, vous devez utiliser les sites de comparateur ou contacter de nombreux organismes pour connaitre la meilleure offre, celle qui sera la plus adaptée à vos attentes. Dans tous les cas, n’oubliez pas de consulter les avis laissés par ceux qui ont déjà contacté l’organisme en question. Cela vous permettra de connaitre la qualité de service que le chauffeur offre à ses passagers, la qualité de la voiture et l’ambiance durant le trajet. Pour ce qui est du prix, cela dépend des services que vous souhaitez en bénéficier. Mais de manière générale, le prix est abordable et à la portée de tous. 

Le Guatemala est un pays magnifique avec un paysage diversifié de montagnes, de forêt tropicale et de volcans. Abritant d’anciennes ruines mayas, le pays a une histoire et une culture riches, et bien que la langue officielle soit l’espagnol, de nombreuses langues indigènes persistent. Avec une histoire de guerre civile et de catastrophes naturelles, cependant, le Guatemala souffre d’un certain nombre de problèmes, notamment la pauvreté, l’insécurité alimentaire, les faibles taux d’éducation et les soins de santé médiocres. Ci-dessous les 10 principaux faits sur les conditions de vie au Guatemala sont présentés.

 

Top 10 des faits sur les conditions de vie au Guatemala

  • Le Guatemala compte plus de 17 millions d’habitants et plus de la moitié d’entre eux vivent en dessous du seuil de pauvreté national de 2 dollars par jour. Les populations autochtones et celles résidant dans les zones rurales sont touchées de manière disproportionnée par la pauvreté.
  • L’indice de développement humain des Nations Unies classe 187 pays selon différents critères tels que l’espérance de vie, l’éducation et le niveau de vie. Le Guatemala figure au 127e rang de cet indice par rapport aux États-Unis, par exemple, qui se classent au 13e rang. Cela s’explique par une variété de facteurs, notamment une faible espérance de vie, et des niveaux élevés de pauvreté et d’inégalité.
  • L’agriculture emploie la majorité de la main-d’œuvre dans les plantations de café, de sucre et de bananes. Cependant, les travailleurs agricoles ne gagnent que 3 à 4 $ par jour et le travail est souvent saisonnier, ce qui laisse beaucoup de gens dans une crise financière profonde pendant l’intersaison. De plus, moins de 2% des agriculteurs possèdent 57% des terres arables, ce qui suggère une répartition inégale des richesses.
  • Le fait de ne pas avoir accès à de l’eau potable permet la propagation de maladies d’origine hydrique telles que la typhoïde et l’hépatite.
  • Le Guatemala est le pays le plus mal nourri d’Amérique latine et des Caraïbes, avec 46,5% des enfants de moins de 5 ans souffrant d’un retard de croissance. Le maïs est un aliment de base du régime guatémaltèque et de nombreuses familles ne peuvent se permettre des alternatives nutritives, car les deux tiers de la population vivent avec moins de 2 dollars par jour.
  • De nombreux Guatémaltèques cuisinent encore sur des poêles à bois. Sans cheminée, la fumée reste dans la cuisine et est inhalée par ceux qui cuisinent, provoquant des maladies pulmonaires, des infections respiratoires, des lésions oculaires et même le cancer.
  • L’accès aux soins de santé reste un problème pour de nombreux citoyens guatémaltèques, en particulier pour ceux en dehors des zones urbaines. L’espérance de vie moyenne est de 73 ans.
  • Le Guatemala souffre d’une grave crise du logement. Plus de la moitié des citoyens ont un logement inadéquat et les droits fonciers restent un problème, environ 1% de la population posséde 60% des terres.
  • Les taux d’éducation au Guatemala sont extrêmement bas, l’enfant moyen restant à l’école pendant seulement 10 ans. Cela concerne particulièrement les jeunes filles, les enfants des zones rurales et ceux appartenant à des groupes autochtones. Moins de trois pour cent du PIB est consacré à l’amélioration de la scolarité, ce qui classe le pays à la dernière place en Amérique latine. De plus, seulement 10% des écoles rurales ont des livres.
  • L’accès à Internet est une chose rare au Guatemala, avec seulement 34,5% de la population ayant accès à Internet. Aux États-Unis, la législation, telle que la Digital Global Access Policy (GAP) Act, vise à promouvoir l’accès à Internet dans les pays en développement pour accroître la croissance économique et l’innovation et, par conséquent, réduire la pauvreté.

 

Ces 10 principaux faits sur les conditions de vie au Guatemala démontrent les problèmes persistants auxquels le pays est confronté. La priorité accordée par le gouvernement à ces questions, ainsi que l’aide de gouvernements étrangers et de groupes humanitaires internationaux, amélioreraient considérablement la vie de nombreux Guatémaltèques qui continuent de souffrir de la pauvreté.